Hommage à l'amour
Au milieu de cette plaine sans horizon
Seul, sans aucune vie, épier par la nature
Cette douce Lumière qui couvre mes blessures
Qui envahi mon âme et hante ma raison
Mon corps immobile et dévoré par ces vers
Qui poussaient par la haine entament leurs festins
Tel des guerriers à qui l'on vole la Terre
Je commence à me battre contre mon destin
Ce cri silencieux qui s'étouffe dans ma bouche
Me ramène à la vie autant que dans l'horreur
Tel un bûcheron ne laissant que la souche
Tu as pris avec toi une partie de mon coeur
Te levant de ce lit illuminé de noir
Je te vois, tu t'en vas, sans un dernier regard.
Au milieu de cette plaine sans horizon
Seul, sans aucune vie, épier par la nature
Cette douce Lumière qui couvre mes blessures
Qui envahi mon âme et hante ma raison
Mon corps immobile et dévoré par ces vers
Qui poussaient par la haine entament leurs festins
Tel des guerriers à qui l'on vole la Terre
Je commence à me battre contre mon destin
Ce cri silencieux qui s'étouffe dans ma bouche
Me ramène à la vie autant que dans l'horreur
Tel un bûcheron ne laissant que la souche
Tu as pris avec toi une partie de mon coeur
Te levant de ce lit illuminé de noir
Je te vois, tu t'en vas, sans un dernier regard.